vendredi 10 janvier 2025

A qui la faute ?


Petite réflexion sur les terribles incendies de Los Angeles...

Entendre Laetitia Halliday pleurer parce qu'elle a perdu sa maison me gêne un peu aux entournures.

C'est quoi son problème ? Elle va devoir vivre à Saint Barth ou dans l'une des nombreuses maisons qu'elle possède ? C'est ça son problème ?

J'avoue que voir ces maisons de millionnaires/milliardaires partir en fumée à quelque chose de presque jouissif.

Les banlieues huppées de Los Angeles partent en fumée ? Mais à cause de qui ?

- Si c'est gens inconséquents ne prenaient pas l'avion pour faire 10 km, ils n'en seraient peut-être pas là...

- Si Las Vegas n'existait pas, il y aurait peut-être un peu plus d'eau en Californie pour éteindre ces incendies... Las Végas vide depuis des années les réserves d'eau de Californie juste pour permettre à des retraités décérébrés de jouer aux machines à sous dans des palaces climatisés à outrance...

Cela fait un moment que je dis que le réchauffement climatique ne sera pris au sérieux que lorsque les riches seront touchés. Nous y voilà...

- Après les inondations à Dubaï - voir une Lamborghini inondée et ensablée avait quelque chose de jouissif...

- Après ces incendies ultra-destructeurs qui touchent les villas surdimensionnées...

Il ne reste plus que Mar-a-Lago brûle et peut-être qu'enfin ses rapaces millionnaires, ces vautours écocidaires milliardaires prendront enfin conscience que c'est LEUR niveau de vie et de consommation qui posent problèmes et pas nous les petits qui nous chauffons à 17°...

Voilà, je pose cela là. A vos commentaires.

chem-Sex Tue


Pour bien commencer l'année, une photo qui a été prise hier (03/01/25) par Jérôme Walczak dans le Marais, Rue Saint Merri. Y aurait-il un début de commencement de prise de conscience ?

Et pour assoir le message clair de cette photo : Un texte flippant, alertant, alarmant, effrayant sur un cancer "orgasmique" qui ronge notre chère communauté : Le chemsex. Merci Erik Remespour ta lucidité qui te caractérise tant. Merci !!!

Chemsex : La Vie sous Contrôle Chimique

I. Une Révolution sous Séringue

Dans les ruelles du Marais, sous les néons de Berlin ou dans les alcôves sombres des clubs, le sexe a changé de visage. Il n'est plus libre, sauvage, viscéral. Aujourd'hui, il est asservi. Une seringue dans le bras, un cristal écrasé dans une cuillère, une ligne blanche parfaitement alignée. Bienvenue dans l'ère du chemsex, où le plaisir est conditionné à la chimie et la liberté sacrifiée sur l’autel des drogues de synthèse.

Tina, la maîtresse cruelle, règne sur les nuits queer. Elle promet des heures d'orgasmes frénétiques, des corps galvanisés, des esprits exaltés. Mais elle est aussi une déesse vengeresse. Injectez-la, et elle vous brûlera de l'intérieur. Le slam — cette injection intime — n’est pas qu’une technique, c’est un rite de passage. On ne consomme pas Tina ; on se soumet à elle.

La révolution sexuelle s’est transformée en quête d’extase artificielle. Ce n’est plus une lutte pour le plaisir, mais pour tenir, encore et encore, dans un marathon sexuel où la performance écrase le désir. Les backrooms ne sont plus des lieux de rencontres ; ce sont des laboratoires d’expérimentation, où les corps se consument à petit feu.

II. L’Épidémie Silencieuse

Les chiffres parlent, mais personne ne les écoute. Combien de vies broyées par les overdoses ? Combien de contaminations au VIH et à l’hépatite C ? Combien d’esprits brisés, abandonnés sur le carrelage froid des clubs ou dans l’isolement étouffant des chambres à coucher ?

J’ai vu des amis tomber. Pas d’un coup, mais par étapes. D’abord, les yeux vides, le sourire mécanique. Puis les rendez-vous annulés, les excuses maladroites. Enfin, le silence. La spirale est implacable : on consomme pour oser, puis pour tenir, puis parce qu’on ne sait plus faire autrement.

Les psychiatres décrivent un cercle vicieux : la drogue désinhibe, facilite, mais elle détruit aussi le lien. On ne baise plus par envie, mais par nécessité chimique. Et quand la drogue disparaît, il ne reste que le vide. Un vide immense, dévorant.

III. Le Déclin du Marais

Le Marais, ce bastion historique de la culture queer, se meurt. Les bars se ferment, les backrooms disparaissent, les rues perdent leur âme. À leur place ? Des vitrines de luxe, des marques sans âme. Et nous, où sommes-nous ? Sur Grindr, bien sûr, où chaque profil scande « Chem only » ou « Slam me ». La connexion humaine s'est digitalisée, et avec elle, notre humanité s’est évaporée.

 

La gentrification a vidé les lieux physiques, et les chems ont vidé nos cœurs. Nous sommes devenus des ombres, errant entre des soirées chimiques et des matinées solitaires. Nous avons échangé la communauté contre une solitude collective, un réseau d'individus isolés, connectés uniquement par les pixels.

 IV. Une Génération sous Contrôle

Le chemsex n’est pas seulement une crise sanitaire ; c’est une crise spirituelle. Nous avons perdu le sens du toucher, du regard, du lien. Le sexe, qui était autrefois un acte de rébellion, est devenu une performance stérile. Les drogues, loin de libérer, nous enchaînent.

 Mais pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Parce que la vie elle-même est devenue insupportable. Le poids de la norme, le spectre du rejet, la pression de la perfection. Alors on s’évade, un trip à la fois. Les drogues deviennent une armure, une carapace chimique qui nous protège de nos propres insécurités.

Et pourtant, nous savons que cela ne durera pas. Que chaque injection, chaque dose, nous rapproche un peu plus du point de rupture. Mais nous continuons, parce que c’est plus facile de plonger que de se battre.

V. Reprendre le Contrôle

Alors, que faire ? Interdire ? Moraliser ? Non. Les drogues ne sont pas le problème. Le problème, c’est ce que nous en faisons. Ce qu’elles font de nous. Les chems peuvent être des alliées, mais jamais des maîtresses. Nous devons les domestiquer, les utiliser, et non nous soumettre à elles.

Cela commence par la parole. Parler des risques, sans jugement. Partager nos expériences, nos peurs, nos échecs. Trouver des espaces où l’on peut être vulnérable, sans honte ni culpabilité. Et cela passe aussi par la communauté. Recréer des liens, réinvestir les lieux queer, remettre l’humain au centre.

Il est temps de reprendre nos corps. De les aimer pour ce qu’ils sont, pas pour ce qu’ils peuvent accomplir sous l’effet des drogues. De réapprendre à jouir, à danser, à vivre, sans Tina, sans slam, sans fuite.

VI. Une Renaissance Possible

Notre communauté a survécu à pire. Au sida, aux violences policières, à l’ostracisme. Pourquoi serions-nous vaincus par les chems ? Nous sommes une révolution en marche, une force de vie. Mais pour cela, nous devons nous rappeler qui nous sommes. Pas des consommateurs, mais des créateurs. Pas des ombres, mais des flammes.

Les clubs, les bars, les backrooms ne sont pas morts. Ils attendent que nous les réinvestissions. Avec nos corps, nos rires, nos danses. Reprenons les rues, les pistes de danse, les lits. Pas pour fuir, mais pour nous retrouver.

Brûlez, mais vivez. Consommez, mais créez. Et surtout, aimez, car c’est la seule révolution qui en vaille la peine.

Erik Remes

mercredi 23 octobre 2024

Oui, c'était mieux avant...

Je suis né en 1968...

Et comme tous les gamins qui ont grandi dans les années 70, On vivait différemment que de nos jours...

Et à cette période on traitait tout le monde comme la famille.

On allait jouer dehors, on était toujours content et on mangeait ce que notre maman se donnait la peine de cuisiner avec nos petits moyens...

On goûtait avec une tranche de pain, du beurre, du chocolat en poudre.

On partageait nos gâteaux même s'il n'était pas de marque

Quand on avait fini de goûter, on faisait nos devoirs et ensuite on allait jouer avec nos amis pas de différence entre les filles et les garçons

On pouvait rester toute une journée à la fête foraine avec des gens formidables avec 20 francs (3€) et parfois moins...

On jouait aux osselets, aux billes, à la marelle, à 1 2 3 soleil, à l'élastique, aux gendarmes et aux voleurs, à cache-cache, aux 4 coins, à la balle aux prisonniers, et inventait nos chorégraphies de danse...

On voulait construire une cabane avec des planches, ou des grands cartons, on grimpait aux arbres, etc...

On faisait un mont avec les feuilles de l'automne pour sauter dedans, sans penser aux microbes et aux merdes de chien en dessous.

On pouvait faire un tour du quartier sans inquiétude.

On ramassait des p'tits fruits, on aidait à la maison, on se baladait à vélo, sur le trottoir sans casque ni protège-genoux. On faisait du patin à roulette et ce n’était pas facile.

Pour appeler nos copains et nos copines pour jouer, on allait chez eux on sonnait à la porte ou pas.

Le soir après notre bain, on mettait notre pyjama et nos pantoufles et au plus tard 20h30 on était au lit et sans discuter !!

On était content si on avait réussi à grappiller jusqu'au moment de la météo après les jeux de 20 heures ou Benny Hill parce que c'est tout ce qui comptait pour nous, savoir si on pourrait jouer dehors demain avec nos copains

Pas de réseaux sociaux, pas de smartphone et on n'aurait pas su quoi en faire puisqu'on avait des copains des copines et un ballon ou pas.

On n'avait peur de rien.

Tout le monde connaissait les enfants des autres et pouvait lui dire << Attends que je vois tes parents si tu n'es pas sage ! >> voir les grands nous disputaient directe car il était bienveillant....

Personne ne se faisait la gueule pour ça parce qu'on pouvait compter les uns sur les autres.

On nous a appris le << RESPECT >> des autres.

Étant enfant, tu n'avais pas à interrompre un adulte qui parlait !

Ce n'est pas avec des armes que nous réglions une altercation, une dispute.

À la tombée de la nuit, on savait qu'il était temps de rentrer à la maison.

On aimait aller à l'école parce qu'on nous avait appris à respecter les enseignants et c'était un plaisir de voir chaque jour nos copains et nos copines de classe.

On fermait nos bouches face à nos aînés parce qu'on savait que si on leur manquait de respect, on avait juste ce qu'on méritait…

La pire des punitions était : << Tu n'iras pas jouer dehors >>.

On devrait plus souvent repenser à tous ces moments heureux, parce qu'on est en train de se perdre dans une société où il n'y a plus de respect, ni d'autorité, ni de compassion, ni de bienveillance pour les autres

Le bon sens se perd également, de même que la notion du bien ou du mal.

Ne jamais oublier d'où on vient...

 

mardi 6 août 2024

La cérémonie des JO pour les nuls

"Je crains l'homme d'un seul livre."
Saint Thomas d'Aquin 
 
Qui suis-je ?

Je suis peintre.
J'organise des soirées courtisanes.
Je suis gaucher, symbole du satanisme.
J'ai été condamné pour sodomie.
J'ai eu des relations sexuelles avec mon élève de 17 ans.
J'ai peint des personnages androgynes.
Je suis gay.
J'ai peint La Cène.
Je suis Léonard de Vinci.

La Cène

Ce tableau est censé représenter le dernier repas du Christ...

Matthieu 26-27
"26 : Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le donna aux disciples, en disant: Prenez, mangez, ceci est mon corps.
27 : Il prit ensuite une coupe; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, en disant: Buvez-en tous…"

Petite question : où est LA fameuse coupe sur le tableau de Léonard ?

La Référence, l'unique référence...

Déclaration de Son Éminence

Mgr François-Xavier, Cardinal Bustillo, évêque de Corse sur la Cérémonie d’ouverture des J.O. Transcrite par le Père Gilles-Marie.

  « Je comprends tout à fait que certains chrétiens aient pu se sentir offensés, Quand on touche au religieux, on touche à l’intime. J’ai écouté l’auteur de la scène. Il ne pensait pas à la Cène de Léonard de Vinci, mais à une scène mythologique, celle de Dionysos. Il faut partir de la source. C’était la fête païenne, la fête du vin, l’Olympe, les dieux. Après, chacun peut faire son interprétation. Il n’est pas sain de vivre et de s’installer dans des polémiques incessantes.

Quand on voit la cérémonie des JO nous ne sommes pas là pour les polémiques mais pour un moment symbolique. C’est un moment où on vise l’unité. On laisse de côté toutes nos tensions, polémiques, politiques et autres, et on essaie de mettre en valeur ce qui unit les peuples. 

J'ai vu que beaucoup de prêtres, beaucoup de personnes ont réagi d'une manière, parfois modérée, parfois disproportionnée, à cette polémique qui, selon moi, était gratuite et qui n'était pas la bienvenue. Moi, je retiens le beau et je retiens aussi le point de vigilance ».

Blasphème ou pas blasphème ?

Le surfeur fait mieux que le Christ, il vole au-dessus de l'eau... Une image le prouve... Ce qui n'est pas le cas de l'homme mort qui passe pour un petit joueur pour le coup...

La mode masculine évolue... Pas le masculiniste...

Pour finir, une image positive quand il est toujours possible de laisser la beauté s'exprimer...



jeudi 25 avril 2024

L'Homme est une bête dangereuse !!!

Il y a 63 ans, Laïka est devenue le premier être vivant placé en orbite autour de la Terre. Elle y est morte seule, à  l'agonie et terrifiée.

C'était une chienne errante qui avait été recueillie dans les rues de Moscou, sélectionnée pour sa petite taille et son pelage brillant, qui apparaîtrait bien dans un film. 

Elle est décédée cinq heures après avoir été mise en orbite. Pendant plus de 40 ans la vérité a été dissimulée et les autorités ont insisté sur le fait qu'elle était en vie pendant des jours après le décollage.

Elle est décédée en raison d'une surchauffe du satellite. Il était insuffisamment isolé des rayons du soleil, elle morte "cuite".

Les Soviétiques ont admis qu'ils n'avaient jamais prévu qu'elle fasse un voyage de retour et qu'ils savaient qu'elle périrait dans l'expérience.

Laïka, le premier animal lancé en orbite, est mort de surchauffe et de panique dans un petit vaisseau spatial, toute seule et dans d'atroces souffrances.

L'Homme n'aurait jamais dû faire cela.

Souvenez-vous de Laika et des millions d'autres animaux inutilement utilisés dans des expériences dans le monde chaque année ❤️

mardi 23 avril 2024

Le temps... Notre temps.

Vous travaillez 8 heures pour vivre 4.

Vous travaillez 5 jours pour en profiter 2.

Vous travaillez 8 heures pour manger en 15 minutes.

Vous travaillez 8 heures pour dormir 6.

Vous travaillez toute l'année juste pour prendre une semaine ou deux de vacances.

Vous travaillez toute votre vie pour prendre votre retraite dans la vieillesse.

Finalement, vous réalisez que la vie n'est rien d'autre qu'une parodie de vous-même pratiquant votre propre oubli.

Nous sommes tellement habitués à l'esclavage matériel et social que nous ne voyons plus les chaînes.. 

La vie est un court voyage,

Vivez-le et profitez de ces souvenirs.


mardi 7 novembre 2023

Londres 2023

Quel beau week-end à Londres. Je n'y étais pas retourné depuis la gay pride de 1996.

J'ai retrouvé Londres comme je l'aimais.

Les anglais sont incroyablement respectueux dans la rue, ils ne sont pas tous sur leur portable à marcher comme des zombies. Mieux, il n'y a pas de réseau dans le métro, les gens sont "obligés" de se parler.

J'ai eu quelques expériences étranges avec les photos.

Je suis habitué à ce que l'on me prenne souvent en photo mais uniquement quand je suis en grande tenue, en Baronne. Là, en civil, certes looké en gothique, c'est arrivé plusieurs fois par jour. C'est très troublant. Et contrairement à Paris où les gens me regardent "dans le jugement", à Londres, ce sont des sourires auxquels j'ai eu droit, des pouces levés ou carrément des petites discussions toujours positives. J'aurais dû vivre à Londres .

Le coût de la vie Londres est effrayant. Je ne vais donner qu'un seul exemple. Nous prenons un café (toujours aussi immonde en revanche, ils ne savent toujours pas le faire), je vois le prix d'une part de  brownie au chocolat : 4.5 £. J'ai un drôle de réflexe, je multiplie tous les prix par 10 pour obtenir le prix en francs (compréhensible uniquement par les plus de 45 ans), cela me donne un ordre de grandeur relatif. Le prix de ce petit brownie est donc de 45 francs ?!?! 6.86 € ?!?! (pour revenir en 2023). Tous les prix sont incroyablement élevés (vive le Brexit 😉).

Sinon, j'ai adoré Camden, même si le quartier a beaucoup changé, il y règne quand même une ambiance incroyable. Le plus étonnant, c'est la musique omniprésente. Mais pas n'importe laquelle. Beaucoup de rock, de new-wave, de punk. Faire du shopping avec Lene Lovitch en musique de fond, c'est juste jouissif. J'y ai trouvé un baggy que je cherchais depuis 10 ans. C'est une marque particulière que je cherchais : Criminal Damage. Ils sont indestructibles. A 45 £, j'ai fait une vraie affaire... la seule fois 😉.

Je n'ai pas reconnu Portobello, j'y étais allé en 1984, je n'ai rien retrouvé de ce que j'avais en souvenirs.

L'ambiance dans les pubs est toujours incroyable, à partir de 16 h 30, ils sont tous pleins. J'y ai découvert un cocktail étonnant : Un café glacé au Martini. A essayer.

Merci à Jérôme et Damien pour ce merveilleux cadeau d'anniversaire. Merci à mon mari d'avoir contribué à caché ce secret depuis août...

The Curtains Up

Comptons of Soho - Plus vieux bar gay de Londres, il a ouvert en 1986.

Camden

Rues Londoniennes

Visite du cimetière de Margravine

lundi 2 octobre 2023

Quel week-end - 3 prix


Premier concours international de Barbes et Moustaches à Caen, expérience incroyable et un résultat totalement inespéré.


Je termine 1er au Championnat International Normand de Barbe et Moustache et à l'Open International Français de Barbe et Moustache catégorie Dali.

Je termine également 1er Best Moustache (tous types de moustache confondu). Je crois que je suis un peu fière.

Les nations représentées étaient :

- Belgique

- France

- Allemagne

- Suisse allemande

- Norvège

- Italie.

Merci Guillaume pour cette invitation, cette expérience extraordinaire. Si tu n'avais pas insisté, je serais passé à côté d'une nouvelle activité associative qui me va parfaitement. Sans activité depuis 2008, j'ai trouvé l'assoc qu'il me fallait : Viking Normandie Barbe Moustache Club

J'y ai rencontré des gens incroyables et tellement drôles.

Désolé, je ne me rappelle pas les prénoms mais
nous avons ici 3 candidats Norvégiens, Allemand et Belge

Simon
Fabrizio - Italie-Venise

J'ai même droit à un petit bout de l'article sur l'évènement dans Tendance Ouest.