lundi 30 décembre 2013

Et fière de l'être

Et j'emmerde tous les cons de droite et d'extrême droite qui se croient meilleurs car enfermés dans leurs névroses les plus profondes et les plus idiotes...

Non, l'antéchrist n'a jamais été Manson...

Cela a le mérite d'être clair et parfaitement juste...

vendredi 13 décembre 2013

Non, ce n'est pas de l'apologie !!!

DAF - Der Mussolini
1981
Avant de crier au scandale, sachez que ce morceau de DAF est un foutage de gueule sans concession de Mussolini et d'Hitler.
 Et par les temps qui courent, ça manque un peu...
Morceau de new wave cultissime.

mercredi 11 décembre 2013

Le Christianisme expliqué aux nuls...

Croyance qu'un mort-vivant interstellaire
juif qui était son propre père peut te
faire vivre éternellement si tu manges
symboliquement son corps et que tu lui
dis par la pensée que tu l'acceptes en
tant que maître, afin qu'il puisse extraire
de ton âme une force du mal présente
dans l'humanité depuis qu'un serpent
qui parle a convaincu une femme
fabriqué avec une côte de manger le
fruit d'un arbre magique...

Parfaitement logique...

vendredi 6 décembre 2013

mercredi 20 novembre 2013

Histoire extraodinaire


Arnold Pointer, un pêcheur professionnel australien a sauvé la vie d'une femelle requin blanc en la libérant d'un filet de pêche. Mais le pêcheur a désormais un problème: "Cela fait maintenant 2 ans qu'elle ne me lâche plus. Elle me suit où que j'aille et sa présence effraye les poissons. Je ne sais vraiment pas quoi faire".

Difficile de se débarrasser d'un requin long de 5 mètres, ...sachant que les requins blancs sont une espèce protégée. Une affection réciproque est née entre le Arnold et le requin qu'il surnomme "Cindy". Arnold dit: "Chaque fois que j'arrête les moteurs du bateau elle vient vers moi, se met sur le dos et je lui caresse le ventre. Elle grogne, tourne les yeux et bat joyeusement l'eau avec ses nageoires..."

mardi 19 novembre 2013

Grande élégance...



Colette Renard - Les nuits d'une demoiselle - 1964

Ou comment dire des horreurs avec une grande élégance... :

"Que c´est bon d´être demoiselle
Car le soir dans mon petit lit
Quand l´étoile Vénus étincelle
Quand doucement tombe la nuit

Je me fais sucer la friandise
Je me fais caresser le gardon
Je me fais empeser la chemise
Je me fais picorer le bonbon

Je me fais frotter la péninsule
Je me fais béliner le joyau
Je me fais remplir le vestibule
Je me fais ramoner l´abricot

Je me fais farcir la mottelette
Je me fais couvrir le rigondonne
Je me fais gonfler la mouflette
Je me fais donner le picotin

Je me fais laminer l´écrevisse
Je me fais foyer le cœur fendu
Je me fais tailler la pelisse
Je me fais planter le mont velu

Je me fais briquer le casse-noisettes
Je me fais mamourer le bibelot
Je me fais sabrer la sucette
Je me fais reluire le berlingot

Je me fais gauler la mignardise
Je me fais rafraîchir le tison
Je me fais grossir la cerise
Je me fais nourrir le hérisson

Je me fais chevaucher la chosette
je me fais chatouiller le bijou
Je me fais bricoler la cliquette
Je me fais gâter le matou

Et vous me demanderez peut-être
Ce que je fais le jour durant
Oh! cela tient en peu de lettres
Le jour, je baise, tout simplement"

mardi 12 novembre 2013

Exposition J.R. à la Bibliothèque François Mitterrand.

Un vrai succès de fréquentation. Bon, il faut être patient, j'ai un collègue qui s'est fait tirer le portrait après avoir attendu 5 h 00 et avec le temps de merde que nous avons en ce moment, cela relève de l'exploit.
Photo prise à 12 h 45 - Le 12/11/13
 Le camion où vous pénétrez et vous ressortez avec une affiche de vous.
Elles sont exposées sur le parvis de la Bibliothèque.

samedi 9 novembre 2013

Un peu de très bonne musique...


B 52's - Planet claire
 
Surement l'un des meilleurs morceaux et des meilleurs groupes de new wave des années 80.
 
J'ai toujours adoré les choucroutes des deux chanteuses et surtout leur façon de danser, à l'époque, tout le monde dansait comme ça.

mercredi 6 novembre 2013

Paroles de sagesse

Cher frère blanc,
Quand je suis né, j'étais noir,
Quand j'ai grandi, j'étais noir,
Quand je suis au soleil, je suis noir,
Quand je suis malade, je suis noir,
Quand je mourrai, je serai noir.
Tandis que toi, homme blanc,
Quand tu es né, tu étais rose,
Quand tu as grandi, tu étais blanc,
Quand tu vas au soleil, tu es rouge,
Quand tu as froid, tu es bleu,
Quand tu as peur, tu es vert,
Quand tu es malade, tu es jaune,
Quand tu mourras, tu seras gris.

Alors, de nous deux,
Qui est l'homme de couleur ?
Léopold SEDAR SENGHOR

lundi 4 novembre 2013

mercredi 30 octobre 2013

A ne pas confondre...

"Ne pas confondre la liberté d’expression,
protégée par la loi,
et l’expression des préjugés,
condamnée par la loi."

François Durpaire
historien spécialisé dans les questions d'éducation et de diversité culturelle aux États-Unis et en France

samedi 19 octobre 2013

Inséparables malgré tout...

1888
Les Tombes d'une femme Catholique
et son mari Protestant.
Merci Brigitte pour cette jolie trouvaille.

vendredi 18 octobre 2013

Les vieilles copines, toujours un vrai plaisir...

"Quand quelqu'un grisonne, d'habitude,
on pense à George Clooney,
toi, on pense à Line Renaud"
Mademoiselle O - 17 octobre 2013

jeudi 26 septembre 2013

Syndrome du Larbin - Pathologie bien connue à l'U.M.P.

I) Définition
Chez un individu, le syndrome du larbin est un comportement pathologique visant à prendre systématiquement la défense des classes les plus favorisées au détriment de celles dont il est issu. Ce syndrome diminue les capacités d’analyse du larbin et se traduit par un blocage psychologique l’incitant à agir préférentiellement contre ses propres intérêts au profit de ceux qui l’exploitent.


II) Analyse des symptômes
L’amour démesuré qu’affiche le larbin à l’égard des patrons, des rentiers ou des milliardaires, est l’acte de foi qui structure son discours. Le larbin agit sans discernement de ce qui pourrait être bon pour lui, il intellectualise le débat pour tenter de nous convaincre que piocher chez les riches est toujours la pire des solutions, quand bien même il en serait bénéficiaire. Les arguments économiques qu’il invoque inlassablement n’ont pas servi à forger sa conviction, le syndrome du larbin est malheureusement une vocation qui se trimbale dès le plus jeune âge et contre laquelle il n’existe aucun remède. Le larbin n’a pas choisi d’aimer les riches, il aime les riches parce qu’il est un larbin. De tendance nettement libérale le larbin est celui qui vous vante les bienfaits du bouclier fiscal alors même qu’il ne paye pas d’impôts. C’est encore le même larbin qui voudrait réduire ou supprimer l’impôt sur la fortune même s’il sait qu’il ne sera jamais concerné par la question. Un écervelé victime du syndrome du larbin n’a pas de conscience politique, il vote instinctivement dans l’intérêt de ceux qui l’exploitent pour s’attirer leur bienveillance. Le larbin estime que l’argent qui lui fait défaut, est beaucoup plus utile dans le coffre d’un riche qui pourra ainsi le réinvestir beaucoup plus utilement qu’il ne l’aurait lui même dépensé. Le larbin cautionne tous les sacrifices et les plans d’austérité dont il pourrait être l’objet comme la baisse des salaires, ou encore l’augmentation de l’âge de la retraite même si son travail ne lui convient d’aucune façon et que ses maîtres ne lui offrent aucune perspective d’améliorer sa condition.


III) Hypothèses sur l’origine du syndrome
Deux théories principales s’affrontent pour expliquer l’origine du syndrome : la thèse génétique et la pathologie mentale.
Après des siècles d’esclavage et de féodalité, les larbins pourraient être le produit d’une sélection artificielle des soumis par leurs maitres. La transmission génétique des caractères aurait favorisée la sélection d’une souche vivace de larbins domestiques au profit d’une nouvelle espèce de primates : l’homo larbinus.
Selon cette hypothèse le mécanisme en œuvre serait similaire à la sélection des chiens et des chevaux mais directement appliqué à l’homme.

Pour les tenants de la pathologie mentale le caractère héréditaire n’est pas retenu, il s’agirait plutôt d’un trouble qui se développerait dès l’enfance. Le processus s’aggraverait au passage à l’âge adulte lorsque le sujet prend conscience de la médiocrité de sa condition, le larbin développerait des stratégies inconscientes visant à restaurer un équilibre cognitif pour justifier l’acceptation de sa subordination. Le larbin finit ainsi par s’identifier à ses maîtres en s’imaginant appartenir au corps social qui l’exploite.

IV) Quelques exemples
Le larbin réagit vivement à toute discussion qui ose remettre en cause les privilèges des plus fortunés, incapable de se livrer à une argumentation convaincante, ses messages distillent la peur et les intimidations dont il est l’objet. En réaction le larbin brandit instinctivement une succession de termes caractéristiques qu’il essaye de glisser dans son discours tels que : communisme, bolchévisme, tirage vers le bas, la Stasi, Corée du Nord, isolement, dictature socialiste, évasion fiscale, paupérisation, millions de morts...

Les quelques messages qui suivent portent la quasi-signature "littéraire" d’un larbin digne de ce nom :

- Les riches il faut les bichonner, les câliner, si on les spolie trop ils s’installeront ailleurs.
- Le Bolchévisme ? Non merci les Russes ont essayé en 17...
- Comme en Corée du Nord ou au Zimbabwe ?
- La fortune de Bill Gates ? Ça fait 3 pizzas par Africain et après on fait quoi ?
- Si les riches disparaissent on pourra plus leur vendre des produits de luxe !
- Ma patronne paye trop de charges !
- Les parachutes dorés c’est une compensation pour dissuader de saboter davantage l’entreprise, divisé par le nombre de salariés ça fait beaucoup moins que dans une seule poche.


V) Population affectée
Le syndrome du larbin ne prolifère pas seulement chez les plus démunis intellectuellement comme on pourrait le penser, il affecte une large fourchette de la population sans corrélation apparente avec le niveau d’étude (20% de la population pense faire parti des 1% les plus riches). Les larbins sévissent en masse sur les forums d’économie dont l’étude de cette discipline semble en aggraver les symptômes. Le paysage politique avec l’élection d’un président au service des ploutocrates révèle un seuil de contamination critique dans la patrie des droits de l’homme. La situation est grave mais peut-être pas complètement désespérée et les symptômes ne cessent d’évoluer au fil de l’actualité, aussi aidez-nous à maintenir et à diffuser ce document pour lutter efficacement contre ce fléau des temps modernes.

mercredi 4 septembre 2013

Un petit coup de nostalgie informatique

Voici un lien qui rappellera de bons et de mauvais souvenir à tous ceux qui ont participé aux débuts d'internet...


Et j'ai mon meilleur ami qui est toujours connecté à internet via un mode 56 K, les fournisseurs refusant de prolonger la ligne jusqu'à chez lui...

lundi 26 août 2013

Anachronisme professionnel

La semaine dernière, il y avait un emploi d'été à l'étage, ce garçon avait 19 ans.

Nous lui demandons de passer un dossier marché par fax à l'un de nos fournisseurs. Le fax est "intégré" dans les grosses photocopieuses mises à notre disposition.

Après avoir photocopié toutes les pages (les dossiers marchés ont ce qu'on appelle une reliure notariale et ne peuvent être dé-reliés), il passe le document dans la machine.

Il le fait 1 fois, 2 fois et à la troisième fois, on lui demande pourquoi il recommence. Sa réponse nous a malheureusement pour lui fait beaucoup rire :

"La machine me rend mes feuilles,
ça veut dire que cela n'est pas passé."

Le destinataire a reçu le dossier 3 fois, dossier d'environ 250 pages...

Heureusement que nous n'avons plus de télex...

dimanche 18 août 2013

Poly, une rencontre qui m'a beaucoup marquée...

Poly était une série que j'adorais lorsque j'étais tout petit. J'ai eu la chance de voir de prêt et même de caresser Poly au zoo de Thoiry, il était déjà à la retraite à cette époque là.
C'est la première star que je rencontrais, j'avais 7 ou 8 ans.

mardi 13 août 2013

La Vallée des Singes

Atèle à face rouge

Gibbon à favoris blancs 
Colobe 
 Mandrill 
Capucin à épaules blanches
 
Chimpanzés
 
Tamarin lion à tête dorée
 Gibbon à favoris blancs
 
Tamarin empereur

Singe Laineux

vendredi 2 août 2013

jeudi 1 août 2013

L'humanité, un concept perdu par les humains et récupéré par les animaux...

L'incroyable pardon de l'animal face à la cruauté de l'Homme !
 
Cette photo incroyable marque la fin de la carrière du Matador Torero Alvaro Munera. Il s'est effondré dans les remords à la mi-combat, quand il s'est rendu compte qu'il était en train d'abattre cette bête douce. (Le regard sur le visage de ce taureau en dit long. Même grièvement blessé par les picadors, il n'a pas attaqué cet homme.)

Le torero est depuis devenu un fervent adversaire des corridas.

Torrero Munera a dit :

"...Et tout à coup, j'ai regardé le taureau. Il avait cette innocence que tous les animaux ont dans les yeux, et il me regarda avec cette plainte. C'était comme un cri pour la justice, au plus profond de moi. Je décris cela comme une prière car si l'on avoue, je l'espère, on est pardonné. Je me sentais comme la pire merde sur la terre. "

jeudi 25 juillet 2013

Paroles...

"Le pire des analphabètes, c'est l'analphabète politique...

Il n'écoute pas, ne parle pas, ne participe pas aux évènements politiques.

Il ne sait pas que le coût de la vie, le prix des haricots et du poisson, le prix de la farine, le loyer, le prix des souliers et des médicaments dépendent des décisions politiques.

L'analphabète politique est si bête qu'il s'enorgueillit et gonfle la poitrine pour dire qu'il déteste la politique.

Il ne sait pas, l'imbécile, que c'est son ignorance politique qui produit la prostituée, l'enfant de la rue, le voleur, le pire de tous les bandits et surtout le politicien malhonnête, menteur et corrompu, qui lèche les pieds des entreprises nationales et multinationales.
Bertholt Brecht - 1898-1956

mardi 23 juillet 2013

Le sac à main : la dernière poubelle à la mode...

Hier, 17 h 00, je rentre chez moi... Enfin !!! 35° toute la journée à Paris, c'est juste pas possible.

Je m'installe ligne 14, la ligne est climatisée et ça, j'avoue, ça fait du bien. Je m'installe et j'observe, la chaleur m'empêchant de lire...

J'observe, donc. J'adore regarder les gens...

Station "Saint Emilion", arrive ce que j'appelle une "jolie pépète" : Une jolie jeune fille, 25 - 30 ans, joli tailleur, joli maquillage, jolie brushing, joli sac à main (qui a mon avis relève plus du sac de voyage que du sac à main) et  jolies chaussures compensées orange fluo.

Bref, une petite nana très classe qui s'assoie juste à côté de moi.

Elle retire ses compensées (marcher toute la journée avec ça relève du calvaire), plonge ses mains dans son sac à mains et en extrait une paire de ballerines orange fluo. J'avoue que le détail des deux paires de chaussure assorties m'a amusé.

Et là, l'impensable se produit :

Ayant enfilées ses ballerines de marche, elle prend ses chaussures-bureau, les jette dans son sac à main (sans sac plastique) au milieu de ses affaires perso :  portable, papiers, dossiers, maquillage, serviettes hygiéniques...

J'avais le nez au-dessus de son sac, je pourrais vous faire un inventaire complet...

Et là, je me suis dit :

"Elle marche toute la journée dans Paris,
déambule dans le métro,
sur ces sols qui sont d'une saleté sans nom,
bref, elle récupère une quantité inouïe de saloperies
sous ses chaussures et
balance le tout dans son sac à main.
Je savais déjà que vos sacs à mains,
mesdames, étaient de vrais nids
à bactéries mais là,
j'avoue que le côté pépète de la jeune fille
a rapidement été remplacé
par une version porcine de la dame..."

En résumé, le sac à main, objet indispensable, est plus proche des cuvettes de toilettes que de l'accessoire de mode glamour.

samedi 20 juillet 2013

Un truc de grand-mère qui marche super bien...

Voici la démonstration d'un piège à limaces efficace, naturelle, peu coûteux et qui accorde finalement une mort non violente aux limaces qui ont envahi mon jardin :
Un bol - Une bière
En une nuit (la troisième),
au moins 25 limaces se sont retrouvées
pour se bourrer la gueule à la bière
avant de partir vers des cieux meilleurs :
Les égouts...

Renouveler la soirée "Bière"
jusqu'à ce qu'il n'y ait plus
d'alcoolique visqueux dans votre jardin...

dimanche 14 juillet 2013

Une envie de crêpes...

Ce matin, pris d'une envie irrépressible de crêpes, je propose que nous allions déjeuner dehors, donc, direction Les Abbesses et nous tombons sur
"La crêperie de Brocéliande"
C'est une toute petite crêperie qui se trouve :
15, rue des Trois Frères - Paris 18.
Petit détail pas anodin, il fait très chaud aujourd'hui à Paris et la recherche d'une terrasse était indispensable mais associer une terrasse et une crêperie, aux Abbesses, ce n'est pas si simple. Ce n'est pas grave, on rentre quand même. La salle est petite, certes, mais orientée de telle sorte qu'il faisait très bon dans le restaurant.
Et bien, nous n'avons pas été déçus, c'était bon, copieux avec un bon rapport qualité/prix. Et la serveuse était démente.
A titre perso, je vous conseille en dessert, la crêpe à la sauce citron,  elle est légère, le goût du citron est top, bref, c'est simplement une tuerie.
Un conseil, réservez, c'est un endroit très prisé des touristes.

vendredi 5 juillet 2013

Retour vers le passé...

Madness à l'Olympia le 16 septembre 2013

Les Blues Brothers au Trianon le 19 juillet 2013

Nine Inch Nails au festival Rock en Seine le 24 août 2013
C'est moi, où nous avons eu droit à une vague temporelle
qui nous a ramenée 20 ans en arrière ???

lundi 1 juillet 2013

Dead Can Dance

 
  



Cantara en live, c'est toujours sublime !!!


Live - Amsterdam - 24 juin 2013